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Geweldige Franse muziek en teksten
woensdag 26 maart 2008 om 15:58
Naar aanleiding van een topic over Franse taalreizen raakten Olijfje en ik op het onderwerp van Franse muziek. Om niet volledig off-topic daar te gaan en omdat Franstalige muziek zoooooo mooi kan zijn, hier een topic voor:
- De mooiste Franse/Franstalige muziek die je kent (artiest en nummer noemen!)
- De mooiste Franse teksten/songlyrics die je kent (bron! bron!)
- En natuurlijk mogen ook de meest afgrijselijke Franse liederen hier niet onbesproken blijven
Shoot!
- De mooiste Franse/Franstalige muziek die je kent (artiest en nummer noemen!)
- De mooiste Franse teksten/songlyrics die je kent (bron! bron!)
- En natuurlijk mogen ook de meest afgrijselijke Franse liederen hier niet onbesproken blijven
Shoot!
donderdag 27 maart 2008 om 11:31
La Corrida van Francis Cabrel: de eerste keer dat ik dat lied hoorde, had ik tranen in mijn ogen en echt, ik huil niet zo snel.
http://www.youtube.com/watch?v=SjgrOnfTrfs&eurl
http://www.youtube.com/watch?v=SjgrOnfTrfs&eurl
Wees blij!
donderdag 27 maart 2008 om 11:36
Les restos du coeur van Coluche!
Les Enfoirés - Les Restos du c½ur 86
avec Yves Montand, Michel Platini, Nathalie Baye,
Jean-Jacques Goldman, Michel Drucker et Coluche.}
Moi, je file un rancard
A ceux qui n'ont plus rien
Sans idéologie, discours ou baratin
On vous promettra pas
Les toujours du grand soir
Mais juste pour l'hiver
A manger et à boire
A tous les recalés de l'âge et du chômage
Les privés du gâteau, les exclus du partage
Si nous pensons à vous, c'est en fait égoïste
Demain, nos noms, peut-être grossiront la liste
{Refrain}
Aujourd'hui, on n'a plus le droit
Ni d'avoir faim, ni d'avoir froid
Dépassé le chacun pour soi
Quand je pense à toi, je pense à moi
Je te promets pas le grand soir
Mais juste à manger et à boire
Un peu de pain et de chaleur
Dans les restos, les restos du c½ur
Autrefois on gardait toujours une place à table
Une soupe, une chaise, un coin dans l'étable
Aujourd'hui nos paupières et nos portes sont closes
Les autres sont toujours, toujours en overdose
{Au refrain}
J'ai pas mauvaise conscience, ça m'empêche pas d'dormir
Mais pour tout dire, ça gâche un peu l'goût d'mes plaisirs
C'est pas vraiment ma faute si y en a qui ont faim
Mais ça le deviendrait, si on n'y change rien
J'ai pas de solution pour te changer la vie
Mais si je peux t'aider quelques heures, allons-y
Y a bien d'autres misères, trop pour un inventaire
Mais ça se passe ici, ici et aujourd'hui
{Au refrain, ad lib}
Les Enfoirés - Les Restos du c½ur 86
avec Yves Montand, Michel Platini, Nathalie Baye,
Jean-Jacques Goldman, Michel Drucker et Coluche.}
Moi, je file un rancard
A ceux qui n'ont plus rien
Sans idéologie, discours ou baratin
On vous promettra pas
Les toujours du grand soir
Mais juste pour l'hiver
A manger et à boire
A tous les recalés de l'âge et du chômage
Les privés du gâteau, les exclus du partage
Si nous pensons à vous, c'est en fait égoïste
Demain, nos noms, peut-être grossiront la liste
{Refrain}
Aujourd'hui, on n'a plus le droit
Ni d'avoir faim, ni d'avoir froid
Dépassé le chacun pour soi
Quand je pense à toi, je pense à moi
Je te promets pas le grand soir
Mais juste à manger et à boire
Un peu de pain et de chaleur
Dans les restos, les restos du c½ur
Autrefois on gardait toujours une place à table
Une soupe, une chaise, un coin dans l'étable
Aujourd'hui nos paupières et nos portes sont closes
Les autres sont toujours, toujours en overdose
{Au refrain}
J'ai pas mauvaise conscience, ça m'empêche pas d'dormir
Mais pour tout dire, ça gâche un peu l'goût d'mes plaisirs
C'est pas vraiment ma faute si y en a qui ont faim
Mais ça le deviendrait, si on n'y change rien
J'ai pas de solution pour te changer la vie
Mais si je peux t'aider quelques heures, allons-y
Y a bien d'autres misères, trop pour un inventaire
Mais ça se passe ici, ici et aujourd'hui
{Au refrain, ad lib}
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donderdag 27 maart 2008 om 12:27
quote:hekate schreef op 27 maart 2008 @ 11:31:
La Corrida van Francis Cabrel: de eerste keer dat ik dat lied hoorde, had ik tranen in mijn ogen en echt, ik huil niet zo snel.
http://www.youtube.com/watch?v=SjgrOnfTrfs&eurlMooi hè? Staat op de CD die ik gister noemde.
La Corrida van Francis Cabrel: de eerste keer dat ik dat lied hoorde, had ik tranen in mijn ogen en echt, ik huil niet zo snel.
http://www.youtube.com/watch?v=SjgrOnfTrfs&eurlMooi hè? Staat op de CD die ik gister noemde.
donderdag 27 maart 2008 om 13:28
Nog een leuke: Ridan met "Heureux comme Ulysse"
zie http://www.youtube.com/watch?v=xOollrw3EBI&e
(ook een heel leuk filmpje trouwens)
(ik ben te lui om al die teksten op te zoeken en te kopiëren, gebruik Google als je de tekst wilt hebben....)
zie http://www.youtube.com/watch?v=xOollrw3EBI&e
(ook een heel leuk filmpje trouwens)
(ik ben te lui om al die teksten op te zoeken en te kopiëren, gebruik Google als je de tekst wilt hebben....)
Wees blij!
donderdag 27 maart 2008 om 19:20
Wat een geweldig topic is dit !!!! Echt al veel liedjes voorbij zien komen die zo gaaf zijn !
Zelf ben ik ook fan van : Louise Attaque (vooral je t'emmène au vent)
Mooie tekst is ook "ma philosophie" van Amel Bend, "la femme chocolat" en "je traine les pieds" van Olivia Ruiz
Ik zag Renaud ook al langskomen hier. Een goed nummer (vind ik) is l'Hexagone.
Ik zal ff kijken of ik de teksten hier kan neerzetten
Zelf ben ik ook fan van : Louise Attaque (vooral je t'emmène au vent)
Mooie tekst is ook "ma philosophie" van Amel Bend, "la femme chocolat" en "je traine les pieds" van Olivia Ruiz
Ik zag Renaud ook al langskomen hier. Een goed nummer (vind ik) is l'Hexagone.
Ik zal ff kijken of ik de teksten hier kan neerzetten
donderdag 27 maart 2008 om 19:22
l'Hexagone - Renaud (1988)
Ils s'embrassent au mois de Janvier,
car une nouvelle année commence,
mais depuis des éternités
l'a pas tell'ment changé la France.
Passent les jours et les semaines,
y a qu'le décor qui évolue,
la mentalité est la même :
tous des tocards, tous des faux culs.
Ils sont pas lourds, en février,
à se souvenir de Charonne,
des matraqueurs assermentés
qui fignolèrent leur besogne,
la France est un pays de flics,
à tous les coins d'rue y'en a 100,
pour faire règner l'ordre public
ils assassinent impunément.
Quand on exécute au mois d'mars,
de l'autr' côté des Pyrénées,
un arnachiste du Pays basque,
pour lui apprendre à s'révolter,
ils crient, ils pleurent et ils s'indignent
de cette immonde mise à mort,
mais ils oublient qu'la guillotine
chez nous aussi fonctionne encore.
Etre né sous l'signe de l'hexagone,
c'est pas c'qu'on fait d'mieux en c'moment,
et le roi des cons, sur son trône,
j'parierai pas qu'il est all'mand.
On leur a dit, au mois d'avril,
à la télé, dans les journaux,
de pas se découvrir d'un fil,
que l'printemps c'était pour bientôt,
les vieux principes du seizième siècle,
et les vieilles traditions débiles,
ils les appliquent tous à la lettre,
y m'font pitié ces imbéciles.
Ils se souviennent, au mois de mai,
d'un sang qui coula rouge et noir,
d'une révolution manquée
qui faillit renverser l'Histoire,
j'me souviens surtout d'ces moutons,
effrayés par la Liberté,
s'en allant voter par millions
pour l'ordre et la sécurité.
Ils commémorent au mois de juin
un débarquement d'Normandie,
ils pensent au brave soldat ricain
qu'est v'nu se faire tuer loin d'chez lui,
ils oublient qu'à l'abri des bombes,
les Francais criaient "Vive Pétain",
qu'ils étaient bien planqués à Londres,
qu'y avait pas beaucoup d'Jean Moulin.
Etre né sous l'signe de l'hexagone,
c'est pas la gloire, en vérité,
et le roi des cons, sur son trône,
me dites pas qu'il est portugais.
Ils font la fête au mois d'juillet,
en souv'nir d'une révolution,
qui n'a jamais éliminé
la misère et l'exploitation,
ils s'abreuvent de bals populaires,
d'feux d'artifice et de flonflons,
ils pensent oublier dans la bière
qu'ils sont gourvernés comme des pions.
Au mois d'août c'est la liberté,
après une longue année d'usine,
ils crient : "Vive les congés payés",
ils oublient un peu la machine,
en Espagne, en Grèce ou en France,
ils vont polluer toutes les plages,
et par leur unique présence,
abîmer tous les paysages.
Lorsqu'en septembre on assassine,
un peuple et une liberté,
au c½ur de l'Amérique latine,
ils sont pas nombreux à gueuler,
un ambassadeur se ramène,
bras ouverts il est accueilli,
le fascisme c'est la gangrène
à Santiago comme à Paris.
Etre né sous l'signe de l'hexagone,
c'est vraiment pas une sinécure,
et le roi des cons, sur son trône,
il est français, ça j'en suis sûr.
Finies les vendanges en octobre,
le raisin fermente en tonneaux,
ils sont très fiers de leurs vignobles,
leurs "Côtes-du-Rhône" et leurs "Bordeaux",
ils exportent le sang de la terre
un peu partout à l'étranger,
leur pinard et leur camenbert
c'est leur seule gloire à ces tarrés.
En Novembre, au salon d'l'auto,
ils vont admirer par milliers
l'dernier modèle de chez Peugeot,
qu'ils pourront jamais se payer,
la bagnole, la télé, l'tiercé,
c'est l'opium du peuple de France,
lui supprimer c'est le tuer,
c'est une drogue à accoutumance.
En décembre c'est l'apothéose,
la grande bouffe et les p'tits cadeaux,
ils sont toujours aussi moroses,
mais y a d'la joie dans les ghettos,
la Terre peut s'arrêter d'tourner,
ils rat'ront pas leur réveillon;
moi j'voudrais tous les voir crever,
étouffés de dinde aux marrons.
Etre né sous l'signe de l'hexagone,
on peut pas dire qu'ca soit bandant
si l'roi des cons perdait son trône,
y aurait 50 millions de prétendants.
Ils s'embrassent au mois de Janvier,
car une nouvelle année commence,
mais depuis des éternités
l'a pas tell'ment changé la France.
Passent les jours et les semaines,
y a qu'le décor qui évolue,
la mentalité est la même :
tous des tocards, tous des faux culs.
Ils sont pas lourds, en février,
à se souvenir de Charonne,
des matraqueurs assermentés
qui fignolèrent leur besogne,
la France est un pays de flics,
à tous les coins d'rue y'en a 100,
pour faire règner l'ordre public
ils assassinent impunément.
Quand on exécute au mois d'mars,
de l'autr' côté des Pyrénées,
un arnachiste du Pays basque,
pour lui apprendre à s'révolter,
ils crient, ils pleurent et ils s'indignent
de cette immonde mise à mort,
mais ils oublient qu'la guillotine
chez nous aussi fonctionne encore.
Etre né sous l'signe de l'hexagone,
c'est pas c'qu'on fait d'mieux en c'moment,
et le roi des cons, sur son trône,
j'parierai pas qu'il est all'mand.
On leur a dit, au mois d'avril,
à la télé, dans les journaux,
de pas se découvrir d'un fil,
que l'printemps c'était pour bientôt,
les vieux principes du seizième siècle,
et les vieilles traditions débiles,
ils les appliquent tous à la lettre,
y m'font pitié ces imbéciles.
Ils se souviennent, au mois de mai,
d'un sang qui coula rouge et noir,
d'une révolution manquée
qui faillit renverser l'Histoire,
j'me souviens surtout d'ces moutons,
effrayés par la Liberté,
s'en allant voter par millions
pour l'ordre et la sécurité.
Ils commémorent au mois de juin
un débarquement d'Normandie,
ils pensent au brave soldat ricain
qu'est v'nu se faire tuer loin d'chez lui,
ils oublient qu'à l'abri des bombes,
les Francais criaient "Vive Pétain",
qu'ils étaient bien planqués à Londres,
qu'y avait pas beaucoup d'Jean Moulin.
Etre né sous l'signe de l'hexagone,
c'est pas la gloire, en vérité,
et le roi des cons, sur son trône,
me dites pas qu'il est portugais.
Ils font la fête au mois d'juillet,
en souv'nir d'une révolution,
qui n'a jamais éliminé
la misère et l'exploitation,
ils s'abreuvent de bals populaires,
d'feux d'artifice et de flonflons,
ils pensent oublier dans la bière
qu'ils sont gourvernés comme des pions.
Au mois d'août c'est la liberté,
après une longue année d'usine,
ils crient : "Vive les congés payés",
ils oublient un peu la machine,
en Espagne, en Grèce ou en France,
ils vont polluer toutes les plages,
et par leur unique présence,
abîmer tous les paysages.
Lorsqu'en septembre on assassine,
un peuple et une liberté,
au c½ur de l'Amérique latine,
ils sont pas nombreux à gueuler,
un ambassadeur se ramène,
bras ouverts il est accueilli,
le fascisme c'est la gangrène
à Santiago comme à Paris.
Etre né sous l'signe de l'hexagone,
c'est vraiment pas une sinécure,
et le roi des cons, sur son trône,
il est français, ça j'en suis sûr.
Finies les vendanges en octobre,
le raisin fermente en tonneaux,
ils sont très fiers de leurs vignobles,
leurs "Côtes-du-Rhône" et leurs "Bordeaux",
ils exportent le sang de la terre
un peu partout à l'étranger,
leur pinard et leur camenbert
c'est leur seule gloire à ces tarrés.
En Novembre, au salon d'l'auto,
ils vont admirer par milliers
l'dernier modèle de chez Peugeot,
qu'ils pourront jamais se payer,
la bagnole, la télé, l'tiercé,
c'est l'opium du peuple de France,
lui supprimer c'est le tuer,
c'est une drogue à accoutumance.
En décembre c'est l'apothéose,
la grande bouffe et les p'tits cadeaux,
ils sont toujours aussi moroses,
mais y a d'la joie dans les ghettos,
la Terre peut s'arrêter d'tourner,
ils rat'ront pas leur réveillon;
moi j'voudrais tous les voir crever,
étouffés de dinde aux marrons.
Etre né sous l'signe de l'hexagone,
on peut pas dire qu'ca soit bandant
si l'roi des cons perdait son trône,
y aurait 50 millions de prétendants.
donderdag 27 maart 2008 om 19:28
Ma philisophie - Amel Bend
Je n'ai qu'une philosophie
Être acceptée comme je suis
Malgré tout ce qu'on me dit
Je reste le poing levé
Pour le meilleur comme le pire
Je suis métisse mais pas martyre
J'avance le coeur léger
Mais toujours le poing levé
Lever la tête, bomber le torse
Sans cesse redoubler d'efforts
La vie ne m'en laisse pas le choix
Je suis l'as mais pas le roi
Malgré nos peines, nos différences
Et toutes ces injures incessantes
Moi je lèverai le poing
Encore plus haut, encore plus loin
{Refrain:}
Viser la Lune
Ça me fait pas peur
Même à l'usure
J'y crois encore et en coeur
Des sacrifices
S'il le faut j'en ferai
J'en ai déjà fait
Mais toujours le poing levé
Je ne suis pas comme toutes ces filles
Qu'on dévisage, qu'on déshabille
Moi j'ai des formes et des rondeurs
Ça sert à réchauffer les coeurs
Fille d'un quartier populaire
J'ai appris à être fière
Bien plus d'amour que de misère
Bien plus de coeur que de pierre
Je n'ai qu'une philosophie
Être acceptée comme je suis
Avec la force et le sourire
Le poing levé vers l'avenir
Lever la tête, bomber le torse
Sans cesse redoubler d'efforts
La vie ne m'en laisse pas le choix
Je suis l'as qui bat le roi
{au Refrain, x3}
Je n'ai qu'une philosophie
Être acceptée comme je suis
Malgré tout ce qu'on me dit
Je reste le poing levé
Pour le meilleur comme le pire
Je suis métisse mais pas martyre
J'avance le coeur léger
Mais toujours le poing levé
Lever la tête, bomber le torse
Sans cesse redoubler d'efforts
La vie ne m'en laisse pas le choix
Je suis l'as mais pas le roi
Malgré nos peines, nos différences
Et toutes ces injures incessantes
Moi je lèverai le poing
Encore plus haut, encore plus loin
{Refrain:}
Viser la Lune
Ça me fait pas peur
Même à l'usure
J'y crois encore et en coeur
Des sacrifices
S'il le faut j'en ferai
J'en ai déjà fait
Mais toujours le poing levé
Je ne suis pas comme toutes ces filles
Qu'on dévisage, qu'on déshabille
Moi j'ai des formes et des rondeurs
Ça sert à réchauffer les coeurs
Fille d'un quartier populaire
J'ai appris à être fière
Bien plus d'amour que de misère
Bien plus de coeur que de pierre
Je n'ai qu'une philosophie
Être acceptée comme je suis
Avec la force et le sourire
Le poing levé vers l'avenir
Lever la tête, bomber le torse
Sans cesse redoubler d'efforts
La vie ne m'en laisse pas le choix
Je suis l'as qui bat le roi
{au Refrain, x3}
donderdag 27 maart 2008 om 19:55
La femme chocolat - Olivia Ruiz (2005)
Taille-moi les hanches à la hache
J'ai trop mangé de chocolat
Croque moi la peau, s'il-te-plaît
Croque moi les os, s'il le faut
C'est le temps des grandes métamorphoses
Au bout de mes tout petits seins
S'insinuent, pointues et dodues
Deux noisettes, crac! Tu les manges
C'est le temps des grandes métamorphoses
Au bout de mes lèvres entrouvertes
pousse un framboisier rouge argenté
Pourrais-tu m'embrasser pour me le couper...
Pétris-moi les hanches de baisers
Je deviens la femme chocolat
Laisse fondre mes hanches Nutella
Le sang qui coule en moi c'est du chocolat chaud...
Un jour je vais m'envoler
A travers le ciel à force de gonfler...
Et je baillerai des éclairs
Une comète plantée entre les dents
Mais sur terre, en attendant
Je me transformerai en la femme chocolat...
Taille-moi les hanches à la hache
J'ai trop mangé de chocolat...
Taille-moi les hanches à la hache
J'ai trop mangé de chocolat
Croque moi la peau, s'il-te-plaît
Croque moi les os, s'il le faut
C'est le temps des grandes métamorphoses
Au bout de mes tout petits seins
S'insinuent, pointues et dodues
Deux noisettes, crac! Tu les manges
C'est le temps des grandes métamorphoses
Au bout de mes lèvres entrouvertes
pousse un framboisier rouge argenté
Pourrais-tu m'embrasser pour me le couper...
Pétris-moi les hanches de baisers
Je deviens la femme chocolat
Laisse fondre mes hanches Nutella
Le sang qui coule en moi c'est du chocolat chaud...
Un jour je vais m'envoler
A travers le ciel à force de gonfler...
Et je baillerai des éclairs
Une comète plantée entre les dents
Mais sur terre, en attendant
Je me transformerai en la femme chocolat...
Taille-moi les hanches à la hache
J'ai trop mangé de chocolat...
donderdag 27 maart 2008 om 20:00
Je t'emmène au vent - Louise Attaque (1997)
Allez viens, j't'emmène au vent,
je t'emmène au dessus des gens,
et je voudrais que tu te rappelles,
notre amour est éternel
et pas artificiel
je voudrais que tu te ramènes devant,
que tu sois là de temps en temps
et je voudrais que tu te rappelles
notre amour est éternel
et pas
artificiel je voudrais que tu m'appelles plus souvent,
que tu prennes parfois le vent
et je voudrais que tu te rappelles
notre amour est éternel
et pas artificiel
je voudrais que tu sois celle que j'entends
allez viens j't'emmène au dessus des gens,
et je voudrais que tu te rappelles,
notre amour est éternel,
artificiel...
Allez viens, j't'emmène au vent,
je t'emmène au dessus des gens,
et je voudrais que tu te rappelles,
notre amour est éternel
et pas artificiel
je voudrais que tu te ramènes devant,
que tu sois là de temps en temps
et je voudrais que tu te rappelles
notre amour est éternel
et pas
artificiel je voudrais que tu m'appelles plus souvent,
que tu prennes parfois le vent
et je voudrais que tu te rappelles
notre amour est éternel
et pas artificiel
je voudrais que tu sois celle que j'entends
allez viens j't'emmène au dessus des gens,
et je voudrais que tu te rappelles,
notre amour est éternel,
artificiel...


vrijdag 28 maart 2008 om 15:10
quote:Kwarktaart schreef op 26 maart 2008 @ 17:47:
Haha bedenk me net een nummer wat ik op mn '93 verzamel cd had staan 'dur dur etre bebe' heel lachwekkend nummer, weet de artiest niet meer
Ja, dat kan ik me nog wel herinneren! En het woord dat erbij bedacht werd: peuterhouse. Een gerucht was toen, dat de oudste zanger uit die groep 4 jaar was.
Er zijn een aantal Franse artiesten die ik nogal waardeer:
- Julien Clerc met This Melody, Hélène (Frans reggae) en Elle Voulait Qu'on L'appelle Venise. Ik vind hem een veelzijdige zanger;
- Édith Piaf met La Vie En Rose, Non, Je Ne Regrette Rien.
Misschien schiet me nog wel meer te binnen.
Er zijn ook Franstalige techno-hits zoals Tu l'as compris en Voyage, voyage.
Haha bedenk me net een nummer wat ik op mn '93 verzamel cd had staan 'dur dur etre bebe' heel lachwekkend nummer, weet de artiest niet meer
Ja, dat kan ik me nog wel herinneren! En het woord dat erbij bedacht werd: peuterhouse. Een gerucht was toen, dat de oudste zanger uit die groep 4 jaar was.
Er zijn een aantal Franse artiesten die ik nogal waardeer:
- Julien Clerc met This Melody, Hélène (Frans reggae) en Elle Voulait Qu'on L'appelle Venise. Ik vind hem een veelzijdige zanger;
- Édith Piaf met La Vie En Rose, Non, Je Ne Regrette Rien.
Misschien schiet me nog wel meer te binnen.
Er zijn ook Franstalige techno-hits zoals Tu l'as compris en Voyage, voyage.
hans66 wijzigde dit bericht op 28-03-2008 16:24
Reden: Correctie van een van de titels
Reden: Correctie van een van de titels
% gewijzigd
World of Warcraft: Legion
vrijdag 28 maart 2008 om 18:45
Ja leuk hé Louise Attaque, maar ik ben blij dat ik niet die Léa ben uit dat liedje Ik vind het trouwens wel mooi, poetische texten met leuke woordspelingen
Jordy van dur dur d'être un bébé is trouwens nu nog wel eens in de actualiteit. Hij heeft meegedaan met een reality show (soort van Big Brother maar dan op een boerderij) en hij heeft volgens mij z'n ouders aangeklaagd omdat zij zijn verdiende geld niet meer wilden/konden geven ofzo(maar dat heb ik niet echt gevolgd, lekker boeiend ook)
Een erg mooi liedje is ook : "chanter pour ceux qui sont loin de chez eux" van Michel Berger. Erg mooi als je last van heimwee hebt...
Jordy van dur dur d'être un bébé is trouwens nu nog wel eens in de actualiteit. Hij heeft meegedaan met een reality show (soort van Big Brother maar dan op een boerderij) en hij heeft volgens mij z'n ouders aangeklaagd omdat zij zijn verdiende geld niet meer wilden/konden geven ofzo(maar dat heb ik niet echt gevolgd, lekker boeiend ook)
Een erg mooi liedje is ook : "chanter pour ceux qui sont loin de chez eux" van Michel Berger. Erg mooi als je last van heimwee hebt...
zaterdag 29 maart 2008 om 17:06
Hier nog een liefhebber van Franse muziek, momenteel vooral de sentimentele ballads (vanwege Franse lover die veel te ver weg is...)
Isabelle Boulay pas ontdekt, erg mooie stem, mooie liedjes.
Patrick Bruel, Garou... ook lekker...
Op de één of andere manier hebben die Fransen een soort rauw randje in hun stem dat ik erg prettig vind om naar te luisteren.
Isabelle Boulay pas ontdekt, erg mooie stem, mooie liedjes.
Patrick Bruel, Garou... ook lekker...
Op de één of andere manier hebben die Fransen een soort rauw randje in hun stem dat ik erg prettig vind om naar te luisteren.
zaterdag 29 maart 2008 om 18:19
quote:gazona schreef op 28 maart 2008 @ 18:06:
Louise Attaque!! Naast 'Je t'emmène au vent' (al eerder genoemd) is ook 'Lea' een van mijn favorieten. En verder... Les Negresses Vertes: 'Sous le Soleil De Bodega' en 'Zobi la Mouche', mmm......... Krijg zin in de zomer!!!En Face a la mer....daarvan krijg ik altijd zin in een cocktail!
Louise Attaque!! Naast 'Je t'emmène au vent' (al eerder genoemd) is ook 'Lea' een van mijn favorieten. En verder... Les Negresses Vertes: 'Sous le Soleil De Bodega' en 'Zobi la Mouche', mmm......... Krijg zin in de zomer!!!En Face a la mer....daarvan krijg ik altijd zin in een cocktail!
zondag 30 maart 2008 om 13:44
dinsdag 1 april 2008 om 10:35
Prachtig, die franse teksten. Ik kan alleen geen frans! Wie kan mij vertellen hoe ik zo snel mogelijk mijn frans weer een beetje op kan halen? Ik heb drie jaar frans gehad, en dat is inmiddels al bijna een eeuw geleden. Ik merk dat ik nog wel veel woordjes ken, maar ik kan er absoluut geen zinnen van maken!
Hoe leer ik snel een simpel gesprekje voeren in het frans? (zijn er cd's voor of werkt dat voor geen meter?)
Mijn franse lover probeert het me te leren, maar dat lukt niet erg want we zijn steeds weer afgeleid (gelukkig spreekt hij wel nederlands)
Hoe leer ik snel een simpel gesprekje voeren in het frans? (zijn er cd's voor of werkt dat voor geen meter?)
Mijn franse lover probeert het me te leren, maar dat lukt niet erg want we zijn steeds weer afgeleid (gelukkig spreekt hij wel nederlands)